Coeur brisé

Du mal à dormir, tu hantes mes pensées J'ai fait tout cela sans vouloir t'offenser Seul dans mes pensées, ça ne peut changer Et j'ouvre les yeux, je ne suis pas joyeux Seul dans mon lit, seul dans ma vie Je me sens seul ces temps-ci Je me sens pris d'une légère amnésie Je me sens pris d'une légère amnésie Je marche seul dans la ville Mon regard lui reste vide Je me stop au centre-ville Dans ma tête, je fais le vide Dans ma tête, je fais le vide J'écris par temps de pluie, je ne suis pas ravie Je n'ai pas prévu parapluie, Dans ma tête, c'est bresson, j'ai vu des saisons Le mal est présent, est-il cohérent? Je m'isole, reste bloqué dans camisole Je fais semblant d'avoir mon auréole Pas facile de sortir de mon malheur En la perdant, j'ai perdu mon antidouleur Je bois pour noyer mon malheur Je voudrais voir disparaître cette douleur Je fixe l'heure attendant son message Peut-être que je n'étais que de passage Mon cœur enivré, mon cœur enchaîné La bête enfermée est de plus en plus déchaînée Je suis perdu dans mes pensé tordu Je suis tendu, trop de sous-entendu Pourquoi continuer quand la mort te rattrape Pourquoi s'acharner tel un sac de frappe Pourquoi lutter contre son propre destin Comment aller chercher cet espoir lointain Je suis seul plus souvent Mes sentiments sont sable mouvants Je m'enfonce lentement Je commence à entendre mes battements Le sang noir qui s'imprègne Il va commencer son règne Le cœur est atteint L'esprit embrumé Son baratin Ne va plus m'enfumer Je l'espère parce qu'au fond je le sais Sang noir ne peut l'arrêter Je suis resté attentif à ses mots Même si cela me provoque des maux Je me torture, je le sais Je ne m'empêcher, je voudrais m'échapper De ce long cauchemar dans lequel je me suis enfermé Etouffé dans fond de la mare Et tu le sais, j'en ai marre J'attends depuis si longtemps Beaucoup trop de fausses promesses Voilà mon cœur mécontent Me dit lâche SMS Il est temps de prendre les devants Pour aller de l'avant Oublier ce qui nous lie Oublier tout ça M'en aller seul Je dois te laisser partir Notre histoire doit aboutir He bastha