dalte & gadgeto dalton terror şarkı sözleri
L'histoire que je m'apprête a vous conter en échange de deux verres whisky, c'est celle de la bande de Los Coyotes Salvajes. C'est l'histoire de leurs gloires et de leurs chutes, de l'apogée de leurs amours pour l'esprit hors la loi. L'incarnation du désespoir, de leur tristesse et de leur plus grand coup d'éclat. Cette histoire commence à quelques heures de cheval de Santa Maria del Barrio
Bien au chaud dans la cachette, un cigare du whisky des mitraillettes.
Prêt à tout pour la mallette, des lingots d'or tout pour le paraitre
La tequila dans nos cerveaux pénètrent
Encore une cigarette, laisse moi te présenter ma bande d'analphabète
Ya le balafré, toujours occupé entrain de voler
L'indien, lancer des tomawaks sa spécialité
Martinez la mescaline dans son gosier
Avec l'accordéon de Santa FE pour nous galvaniser
Il est temps de partir, voir de quoi sera fait notre avenir
Cette société est une satire, comment ne pas désobéir
Rien ne peux nous ralentir, ma destinée je vais accueillir
Un rodéo dans mon cerveau, rien n'est plus beau que le chaos
Regarde les étoiles la haut
Les nuits est belle, on hâtent les chevaux
Hurlant comme des cheyennes, pour gonfler nos égos
Nos compères arrivent en ville sans aucun plan, les plans ça foire toujours n'arrête pas de répéter Martinez. Puis ils ont appris a vivre comme cela, au gré des pulsions. Leurs yeux se posent instinctivement sur la plancarde la plus rutilante, celle du saloon. Joe a envie d'un whisky comme une envie de pisser, et c'est sans mots dire, qu'ils se dirigent tous vers le lieux de perdition
Encore un trou à rat pourri, le comptoir un whisky
Ils dévisagent la faune l'œil aguerris
Ce genre de bar où il y a tous types de gens
Il y a le grand, le fainéant, et cette immigrant
D'une lointaine contrée, des autres continents
Plein de pouilleux qui se prennent pour des conquérants
Sans oublier le pianiste et son alcool de contrebande
Moi et ma bande, pour une chevauchée démente
Quand Sante Fe me tape les cotes
Regarde c'est qui ce type là, c'est sûr que c'est un indic du shérif
Il a dû nous reconnaitre sur une affiche, ça va partir en bourre pif
Le Mexicain s'approche, lui tape une clope
Crache à ses pieds pendant que le Balafré lui choppe son colt
Il n'y aura pas de cinoche, il a semé ce qu'il récolte
Les gens s'écartent de notre chemin
Sinon il n'y aura pas de demain
Il est temps de sortir de cet endroit de bons à rien
Les 'Los Coyotes' mettent un coup de pied dans le bouchon de clients qui s'est crée à la porte du saloon. En sortant, Sante Fe est ébloui par un objet dorée, une étoile au milieu de la foule de curieux qui commence a s'amassé en cercle. Joe bouscule ses frères de sang, et se plante droit devant l'étoile.
D'un coup, le cœur de la foule est pétrifié. Le souffle court, seul le bruit du vent et des virevoltants se fait entendre. Sans mots dire, le Sheriff découvre le holster caché par son blouson, et approche nerveusement le doigt de la gâchette
Une sueur sur mon front collant, de la poussière et des feuilles volantes
Le silence est pesant, mon sourire est insolent, mon Six Coups est étincelant
Quand je le dégaine de ma ceinture bam bam bam je l'ai touché en pleine figure
J'ai fumé cette ordure, pour lui il n'y avait pas de futur, il n'était pas de mon envergure
L'âme du Sheriff n'a pas le temps de s'échapper de son corps, que les Salvajes sortent au triple galop, faisant voler le chapeau de la femme du pasteur qui tombe dans la mare de sang. C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, l'esprit de la foule ne fais qu'un tour, et c'est les veines bouillonnantes qu'elle se lance à leurs poursuites
Martinez se fait trouer, pas le temps de le ramasser, la course poursuite est enclenché, les balles vont fusés
La Loi de l'aléatoire a sonné, pourquoi cette cartouche de Winchester m'a pas fauché
C'était pas encore le rendez-vous avec la faucheuse, cette allumeuse sait que ma vie est dangereuse
La situation est périlleuse, personne ne survivra à ma nettoyeuse
Après quelques heures a essayés de brouillés les pistes, les Los Coyotes se sentent en sécurité.
Ils rigolent même quand le Balafré raconte qu'il a eu le temps de faire les poches du macchabé, et qu'il n'y avait qu'un flash de whisky à moitié vide et un télégramme.
Joe, le seul a savoir lire, lui arrache le papier des mains. Un million de dollar en bons du trésor amassé par un sombre colonel durant la guerre des sécession passe dans un canyon à 8 heures de cheval.
Les Los Coyotes Salvajes en mettront six
Tout le monde est placé à l'abri des roches
Tout le monde est prêt à remplir sa sacoche
Un bruit métallique s'approche
Le conducteur n'aura pas le temps de sonné la cloche
Les buches vont taper son pare choque
Il n'aura pas le temps de freiné
Il regarde de tous les côtés, ils pensaient qu'on les avait encerclé
Mais on est déjà monté, la bourgeoise est affolé
Ces bijoux sont déjà dans les poches du Balafré
On remonte le train, déterminé à choper le grand butin
Il y a plus de place pour les baratins, on sera riche avant le petit matin
On croise les convoyeurs de fond, ils sont pas de taille voyons face à mon bataillon
J'crois qu'on a localisé le bon wagon, de la locomotive on a pris possession
On passe par le plafond
Je crochète le coffre-fort, s'ouvre à moi tous les bons du trésor
Faut se dépêcher avant les renforts
Eh merde, c'est quoi tous c'est tirs
On dirait que la cavalerie arrive, par chance l'Indien a repéré la Gatling
Il défouraille à tout va pour les anéantirs
Le nombre de Gunslinger se gonflent à la même vitesse que les bons remplissent la sacoche.
Et bientôt les tirs de parage de la Galting ne sont plus suffisantes pour les tenir a distance;
Tout va très vite, le Balafré prend une bastos dans l'épaule, et c'est l'Indien qui prend la deuxième en essayant de ramasser son frère d'arme. Santa Fe est affalé au sol, entre les balles qui fusent et les éclats de sang, l'instinct de Joe lui dit de prendre la tangente.
Un cavalier isolé près de la fenêtre , il est temps de sortir de cette galère
Ça se joue à quelques centimètres , je lui saute dessus après un coup dans les molaires
Un dernier regard sur mes compagnons d'infortunes
Maintenant je suis seul avec la lune
Les rapides dans le canyon ma dernière chance
Une intrépide croyance, ma vie est le résultat de mon inconscience
Je me jette dans la rivière déchainé, personne n'est assez fou pour suivre et
Je me laisse emporter dans cette eau glacée, pour me réveiller semi conscient sur des galets
Mon sac de devise sur le coté, je crois que j'ai gagné ma liberté
Je souris au soleil levant
Que c'est bon de se sentir vivant
Et bien; vous n'allez surement pas me croire, mais le Joe de mon histoire, vous venez de lui payer deux whisky. Après des années a essuyer les larmes de mes frères dans la débauche, le dernier bon est perdu dans une partie de poker. Depuis, j'ère de ville en ville a raconter mon histoire, et si vous en voulez plus, il me faudra deux whisky on the rock
Joe Dalton Terror
Gadgeto