Feux

Salé, salé, ça, salés les pas Sens-les, sens-les, sens-les en toi, comme l'épave Tant qu'on salit le combat, tant qu'on se salue tout bas S'allier, s'allier, ah, te rappelles-tu tout de toi J'en connais un rayon du froid, un crayon sépare Ma maison de mes pas et si ma raison m'épargne Donc sans plus trop tarder, du son pour mieux planer Ces leçons d'humilité nous rappelleront nos volontés S'éloigne, s'éloigne, ah, s'éloigner car Se soigne ton âme loin de ces lois Ah oui, on taille, ah on déraille, qui est-ce qui fera de mes jours des nuits de feux, des nuits sans vous Ah oui, on taille, ah on déraille, qui est-ce qui fera de mes jours des nuits de feux, des nuits sans vous Et le temps qui passe, n'attend que l'espace, j'attends quoi que je fasse Plus l'vent me fait face, plus j'en garde un assortiment de crevasses Et je sais que je verrai bien le vide entrer en gare Ah oui, j'sais combien ma vie m'crie d'garder espoir Ah oui, on taille, ah on déraille, qui est-ce qui fera de mes jours des nuits de feux, des nuits sans vous Ah oui, on taille, ah on déraille, qui est-ce qui fera de mes jours des nuits de feux, des nuits sans vous Tailler, tailler tard, rêver d'autre part, ça y est, ça y est, j'arrive à me revoir Veiller, veiller tard, rêver d'autre part, ça y est, ça y est, j'arrive au bout du noir