Le loup de Malzéville

Jeanne Cloitrée dans son logement Du haut de ses 16 ans Hume le printemps La nature reprenant Son droit perpétuel Le dehors l'appelle Alors elle prend La clef de ses champs Seule et heureuse Elle profite des lieux Mais destin désastreux Un homme aux joues creuses La reconnait Veut en faire son jouet Apeurée Jeanne A genoux Protégée Jeanne Par un loup La Bête De ses crocs tranchants Blesse le nommé Armand Il hurle en fuyant Le loup se blottissant Contre Jeanne la Belle Depuis cette histoire irréelle Le Duc proscrit séant La chasse aux loups hurlants A toi méfiant flâneur Dans les bois ne prend pas peur Si le Loup venu d'ailleurs Vient vers toi pauvre pêcheur Il n'est pas Celui qu'on croit