l'amour pas la violence

Un jour je me réveille j'aurais pu penser Danser, chanter, lancer, foncer, foncedé, rapper Rater, brancher mon synthé, sans thé, mixer, filer, lassé Pourquoi parce que je me rappelle de moi Saoulé, ruiné, scellé Tête baissée sans dire un mot, solo J'en pouvais plus des ragots, ses couteaux, fardeaux Pour le nouveau qui crée son ruisseau de sanglots. Sa plaie se détend, l'envie de rouge le soir vin ou sang Avec ou sans Tu te fais du mal pour te sentir vivant Courrez, partez, fuyez, pleurez Si c'est ça que tu veux fais-le petit babtou Tu vis dans une dimension chelou ou tu choisis tout sur tout c'est fou Ris, lis, sourit, si c'est ça que tu veux Prends le, attaches toi au bon Fuis le mal, le sale, râles pas, rages pas, ranges toi Ça parle de vous dans les soirées rénées, Ça juge comme des chiens affamés Au fond c'est sympa mais ça dépend pour qui Je te parle de vraies maladies Par ailleurs je me rappelle de nous au lit une vraie folie Ça parle de vous dans les soirées rénées, Ça juge comme des chiens affamés Au fond c'est sympa mais ça dépend pour qui Je te parle de vraies maladies Par ailleurs je me rappelle de nous au lit une vraie folie Je veux l'amour pas la violence Que tu me relances la romance Est-ce que tout ça a encore du sens Je veux revivre ma plus tendre enfance Je peux partir si tu veux M'éloigner si c'est pour le mieux Tout le monde reste attaché Mais l'amour lui disparaît ouais C'est comme penser à toi ça disparait C'est comme penser à toi ça disparait Mais quand t'es là je suis de nouveau relancé Ca me rend fou d'être ligoté Mais amoureux de t'embrasser Dépendant et enchaîné Et je pense aux autres quand t'es plus là Et tout d'un coup je passe d'enlacé à trop lassé c'en est assez Mais jamais assez de temps assez de moments Donc je suis condamné Un réel un prisonnier quelques instants Et y'a l'autre qui m'écris puis tout se fini Déso ma vie je veux pas de conflits on se voit samedi si ça te dit Courrez, partez, fuyez, pleurez Si c'est ça que tu veux fais-le petit babtou Tu vis dans une dimension chelou ou tu choisis tout sur tout c'est fou Ris, lis, sourit, si c'est ça que tu veux Prends le, attaches toi au bon Fuis le mal, le sale, râles pas, rages pas, ranges toi On parle de vous dans les soirées rénées, Ça juge comme des chiens affamés Au fond c'est sympa mais ça dépend pour qui Je te parle de vraies maladies Par ailleurs je me rappelle de nous au lit une vraie folie