iamforrest vous mes dames şarkı sözleri
J'aimerais m'exprimer sur ce qui a été le plus beau de mes drames,
J'aimerais comprendre ce qui m'attache à vous, et depuis tout ce temps.
Je parle au nom des hommes, ceux qui vous font parfois du mal,
Je parle surtout en mon nom car femmes, je vous aime tant.
J'aimerais les mots et la force pour vous décrire
Mais j'ai peur que chacun de mes mots vous poussent à me fuir.
Je veux juste prendre soin de vous, sans jamais vous nuire,
Et avec une de vous, voir mon enfant grandir.
J'apprends encore à vous connaître et vous imaginer,
Vous femmes semblez si pures mais vous avez tant à cacher
Je passe mes nuits à espérer que j'arriverai à vous rêver,
Toutes mes journées sont vouées à mes rêves et tenter de m'en rappeler.
Ô femmes, femmes, femmes,
Nous hommes ne connaissons tellement rien de vous (tellement rien de vous, tellement rien de)
Ô femmes, femmes, femmes,
Vous femmes, connaissez tellement tout de nous (tellement tout de nous, tellement tout de).
J'aimerais parler de toutes ces femmes que j'ai envie de rencontrer,
Je veux montrer celles qui vivent cachées, qu'on a cessé d'aimer,
Je veux aimer celle qui finira par un jour me détester,
Et protéger celle qui rêve secrètement de me planter.
Je parle de cette femme, la mère de ses enfants,
Qui travaille tard le soir jusqu'à plus avoir le temps,
Qui s'occupe du mari quand il est là, et des enfants,
Qui fait passer son bonheur mais tellement loin de celui des gens.
Je parle de cette femme indépendante car blessée de l'intérieur,
Qui montre chaque jour un sourire pour camoufler chacun de ses pleurs, Qui entendra tellement d'envie, qu'elle en oubliera ses peurs,
Qui pardonne à son prochain, même quand ça détruit son coeur.
Mais je parle de cette femme, peur de la foule et du monde
Renfermée sur elle même car elle a peur qu'on la gronde,
Qui se cache avec des teintures rousses, brunes ou blondes,
Celle qui, quand vous la voyez, votre cœur peut fondre.
Et je parle de cette femme, celle qui est abandonnée de tous,
Qui croit qu'elle peut pas s'en sortir si personne ne la pousse,
Celle qui qui est plus forte que toi, que moi et que nous tous,
Elle croit qu'elle ne vaut rien alors que des hommes, elle en vaut douze.
Mais je parle de cette femme qui cherche l'amour à travers des likes
Qui se fige dans l'espace à grands coups de gel et de laque,
La même chez elle qui rentre le soir, et qui pleure à grandes flaques,
Qui croit qu'on ne l'aimera pas pour ce qu'elle est, à chaque je t'aime elle se braque.
Et je parle de cette femme entre la vie et l'amour,
Rouée de coups par son mari pour un retard de dix minutes,
Qui porte chacun de ses bleus comme le plus précieux des bijoux,
La plus gentille femme du monde se fait pourtant traiter de pute.
Et je parle de cette fille qui deviendra femme dans ce monde si dur,
Je parle des femmes de ma famille et des femmes de la tienne
Ces femmes tellement blessées voudront changer de coiffure.
Ce monde où l'homme est roi me fait tant de peine.
Ô femmes, femmes, femmes,
Nous hommes ne connaissons tellement rien de vous
Ô femmes, femmes, femmes,
Vous femmes, connaissez tellement tout de nous
Ô femmes (femmes), femmes (femmes), femmes (femmes),
Je ne connais tellement rien de vous (tellement rien de vous)