Posé sur la Merde

Douce nuit, Je me délecte du goût de tes lèvres Dans mes Souvenirs. La lune, les branches, Ton regard, un air Juvénile. Tes yeux, ta peau en or Et ton doux sourire Ça a le goût de me nuire. Jeune Vénus, Les sinueuses, Le creux de ton dos, Passion était venue. Incarnation mathématique De ce qui m'attire. Belle velue, Sur le belvédère Tu étais belle vêtue De mes sentiments, J'ai bu goulûment, Je t'en ai voulu. Ton dos voûté, J'y lus le poids de tes peines, Ponctuées par points de suture. Cachée sous les coutures de chair, Tu apparus vraie à ma vue : Douce, fumante et cassée. Je t'aimais, j'ai bu goulûment, Je t'en ai voulu. Insomnie M'isole Mes pensées S'immolent Je ne veux pas fermer l'oeil de la nuit Pour qu'elle veille encore un peu sur ma vie Ouh ouh, posés sur la merde Ouh ouh, on causait d'une manière Allégorique Le mood est solaire Comme un soleil qui brûle nos entrailles J'aurai pu rêver un autre monde Mais le mien anéantit les idées Les autres me voient comme un mirage Alors J'm'imagine seul sur une île verte avec des feuilles Et l'œil inerte J'regarde l'avenir pas rassuré Les mots m'écoeurent Les gens aussi Y'a qu'le silence qui m'enivre (Y'a qu'le silence qui m'enivre) (Ose, ose, ose) Ose dire que le monde est bien trop tortueux pour toi Ressentir toutes ces choses te fait perdre l'équilibre Ouh ouh, posés sur la merde Ouh ouh, on causait d'une manière Allégorique Ouh ouh, posés sur la merde Ouh ouh, on causait d'une manière Allégorique