jahz armando palais de glace à marrakech şarkı sözleri
J't'imagine derrière les barreaux
Me demande en vain c'qui n'tourne pas rond
Mes larmes coulent au rythme des pas longs
Dans la cellule toute vide de mon refré
Tu la même erreur si je te tends encore la main?
Te remémores-tu les vagues écumes de souvenirs que tu m'as laissé?
Te questionnes-tu le cœur vide?
Reconnais-tu les pluies d'acide?
J'arrive même plus à t'en vouloir
Mais dieu sait
Dieu sait que j'ai mal
Dieu sait que j'ai traversé les ténèbres pour en arriver al
La haine et les peines
La perte n'y est pas
Souffrance infligée ne m'appartient pas à moi
Le son d'l'enceinte sonnera jamais assez fort
L'odeur d'l'essence, je connais j'en ai versé
Millions de poèmes ont fini par cramer
Dans l'doute j'ferme les yeux
J'imagine les sommets que j'me vois atteindre
Alors que ma joie porte visage pâle
Les amours ont fané
Les denrées ont brûlés pour laisser des cendres d'espoir
J'ai les codes de la matrice qui les contient
Dans les détails des chiffres
Je vois des liens
J'connais les vices qui les pourrissent
Qui les retiennent de devenir eux-mêmes
J'roule un doobie dans les doutes que je sème
Parano, parano c'est plus pareil
Putain j'ai pas dormi depuis la veille
J'ai pas traversé les enfers pour ne rien en faire
Nan j'ai pas vu ma vie défiler
Quand tout aller s'arrêter
J'étais bien trop occupé.e
J't'imagine derrière les barreaux
Me demande en vain c'qui n'tourne pas rond
Mes larmes coulent au rythme des pas longs
dans la cellule toute vide de mon refré
Tu la même erreur si je te tends encore la main?
Te remémores-tu les vagues écumes de souvenirs que tu m'as laissé?
Te questionnes-tu le cœur vide?
Reconnais-tu les pluies d'acide?
J'voulais miroir
Reflet à ma haine
Recherche dans l'noir
Refré à ma peine
Grandis dans un palais d'glace à Marrakech
J'ai vu l'démon très tôt m'a dit rend moi l'appareil
J'voulais miroir
Reflet à ma haine
Recherche dans l'noir
Refré à ma peine
Aide-moi à sortir de ce film gore
Souvenirs des couloirs, des recoins d'un passé
Hanté par fantômes et miroirs fracassés
Les Hommes se remplissent, s'enfument, s'alcoolisent...
L'infini j'le respire,
S'éprend de moi, doucement de mes dires
J'ai vu pire, mes lettres se dessinent mais leurs yeux peuvent-ils vraiment les lire?
Rdv au telly, logé.e au télo
J'taffe des monologues de Jeanne d'arc à Othello
J'me sens surhumain.e,
Comme si j'avais deux âmes sous ma peau
Et si c'était celle de mon frère ?
Putain c'est fou comme mes peines
Font confondre l'amour et la haine
Le vrai le faux
La vie la scène
J'roule un doobie dans les doutes que je sème
Parano parano c'est plus pareil
Putain j'ai pas dormi depuis la veille
J'ai pas traversé les enfers pour ne rien en faire
Nan j'ai pas vu ma vie défiler
Quand tout aller s'arrêter
J'étais bien trop occupé.e
J't'imagine derrière les barreaux
Me demande en vain c'qui n'tourne pas rond
Mes larmes coulent au rythme des pas longs
Dans la cellule toute vide de mon refré
Tu la même erreur si je te tends encore la main?
Te remémores-tu les vagues écumes de souvenirs que tu m'as laissé?
Te questionnes-tu le cœur vide?
Reconnais-tu les pluies d'acide?
J'voulais miroir
Reflet à ma haine
Recherche dans l'noir
Refré à ma peine
Grandis dans un palais d'glace à Marrakech
J'ai vu l'démon très tôt m'a dit rend moi l'appareil
J'voulais miroir
Reflet à ma haine
Recherche dans l'noir
Refré à ma peine
Grandis dans un palais d'glace à Marrakech
J'ai vu l'démon très tôt m'a dit rend moi l'appareil

