kaffir acrimonie şarkı sözleri
Ouais j'ai la rage et deux-trois petites envies sordides
Ça va pas fort et mon crâne s'nourrit de toutes sortes d'idées
J'attaque la prod avec une fat boule dans le bide
Les éclaboussures de ma rage coulent dans le vide
Reconnaissant envers toute source de force fidèle
A des principes, j'vais graille ces larves telle une coccinelle
Car solitaire, je viens de perdre la seule qui m'aide et qui m'apaise
Mais qui me laisse un goût amer lorsque nos peines prennent les rennes
Puis je m'arrête
Et je regarde ce monde
Donc je me perds entre ses facettes
Déjà tombé dans ces travers
Mais je tombe, puis retombe
Ouais je plonge
Puis prolonge cette agonie
Qui me saigne, bien malsaine
Cette vie, que tant craignent
C'est un oui, pour la tienne
Cette vie, que tant aiment
Cet oublie, pour la mienne
Cette vie, que tant craignent
C'est un oui, pour la tienne
Cette vie, que tant aiment
Dans ce noir
Qui obstrue tant de pensées
J'ai flouté mon miroir
Pour feinter tous mes péchés
Et quand déborde l'entonnoir
Les éclats ne font qu'effacer
Cette couche épaisse mais illusoire
Dévoilant l'obscurité
Un cœur cassé ne peut rendre que des fragments blessants
Dans mon verre glacé j'ai laissé tomber froidement mes sens
Noyés dans cette méfiance
Plongés dans cette souffrance
Malgré mon expérience
Je manque tellement d'assurance
Et lorsque je décide de dégainer ma seule arme
J'me sens mieux
J'me sens mieux
Ouais j'me sens mieux
Puis j'monte, monte, l'level
Toi tu contemples le bel
Opinel aiguisé verbal
C'est mon arme et gilet pare-balle
Pas de kichta saine
Quant aux vices, qu'elle sème
J'pense aux types qui en saignent
(Ces) faux riches qui « enseignent »
Quand les sista, cèdent
Quand insiste un keum
Ça m'attriste, qu'on gueule
Sur sa jupe, quel seum
Quel seum
Et je me perds, solitaire, dans un monde dégoûtant
Donc je repère, ces compères, qui sont comme moi réticents
A se taire, ou s'y faire, comme la plupart des gens
Et j'éteins toutes ces lumières, faux contact déplaisant
Et je m'rappelle, ces aprèm, où on m'disait une fois que t'es grand
Tous ces malaises, disparaissent et tout est bien très différent
Tout est bien très différent, ouais
Dans ce noir,
Qui obstrue tant de pensées
J'ai flouté mon miroir
Pour feinter tous mes péchés
Et quand déborde l'entonnoir
Les éclats ne font qu'effacer
Cette couche épaisse mais illusoire
Dévoilant l'obscurité
Mais dans ce noir
Qui obstrue tant de pensées
Encore dû flouter mon miroir
Pour feinter tous mes péchés
Mais quand déborde l'entonnoir
Les éclats ne font qu'effacer
Cette couche épaisse mais illusoire
Dévoilant l'obscurité

