kaffir pansements şarkı sözleri
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses pour des pansements de vie
Des conss' et des froncements dessinent nos sourcils
Et crise de quarantaine et crise de cinquantaine
Et crise de la quantième
Et prise de somnifères
Et finis ces rires, ces innocents désirs
Qui deviennent peu à peu
Des mal-êtres à couvrir
Mais t'es complètement barge
Si tu me vois prendre le large, et t'es choqué
Tu vois pas que t'es un otage
Rejoins l'équipage, avant de perdre ce visage
Avant qu'il soit couvert de balafres
Avant qu'il soit couvert de balafres
Invisibles à l'œil nu
Les marques de la vie
Sont dispo sur le menu
Qu'on t'propose à foison
Fais gaffe à ce poison
Mais morose est l'humeur
La vraie, qui leur fait peur
Mais morose est l'humeur
Mais morose est l'humeur
La vraie, qui leur fait peur
Aaah mais t'as peur
Peur de pas être « bien vu »
Peur d'être jugé
Peur de pas être dans la norme
Il te faut un boulot, bien payé, qu'il te plaise ou pas
Faut que tu bosses pour prendre du plaisir cinq semaines dans l'année
Il te faut une maison, pour pouvoir inviter des collègues que t'aimes pas
Ça va mal j'vais
Gratter, gratter
Dans la foulée
Rapper, rapper
Puis j'vais rouler
Fumer, fumer
Sans relâche et
User, bruler
Cette mèche
Ouais le J se consume
Et le geste est assumé
Indigeste est le
Festival de beaux ânes, et de « côtés », que des bestiaux
Cette équipe est tellement bête, posez pas de questions
Non non non
Non non non
Noyée dans l'ivresse, tristesse est maquillée
Peu de vitesse quand il s'agit de briller
Devant soi-même, tous les feux se refont griller
Demain soir, j'irai dans les rues de la ville lumière
Pas pour festoyer
Mais contempler
Ces tristes âmes
Ces pictogrammes
Bien entoilés
Pas pour festoyer
Mais contempler
Ces tristes âmes
Ces pictogrammes
Pas pour festoyer
Mais contempler
Ces tristes âmes
Ces pictogrammes
Bien entoilés
Je vaux pas mieux que ces moutons
Je suis juste un pigeon de plus
Qui s'demande à qui profitera sa vie, sa prison recluse
Dépenses, dépenses, ouais des dépenses encore
Obnubilé par des sapes dont dépend son corps
Est-ce moi, ou toi, ou lui, depuis la nuit des temps
On cherche coupable, c'est important
Afin que ce comprimé de nos vices se dissolve bien
Dans cette eau trouble qui n'reflète plus rien
Que ce qui lie un peu tous les humains : maléfices, maléfice
Aucun (humain) n'est vraiment sain
La terre ira mieux s'il n'en reste plus qu'un
Ouais la terre ira mieux s'il n'en reste plus qu'un
Ouais la terre ira mieux
Ouais la terre ira mieux
Ouais la terre ira mieux s'il n'en reste plus qu'un
La terre ira mieux s'il n'en reste plus qu'un
Ouais la perte des hommes dans un sang diluvien
Ouais la terre ira mieux s'il n'en reste plus qu'un
Ouais la perte des hommes dans un sang diluvien
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider
Dépenses, dépenses, dépenses encore
Ouais des séquences de gens qui vivent en pleine démence
Une vie d'une absurdité tellement bien formatée
Qu'on ferme nos gueules et quand vient le moment de décider

