kal speredia digression artistique şarkı sözleri
Voilà bientôt deux semaines que mon stylo est à sec
Que j'assèche ma plume à force de rechercher un thème intrinsèque
Check, j'suis comme les autres et des milliers de question fument
Au sein de mon cerveau à ruminer cette putain d'amertume.
Si l'amère tue, quels mots vont résonner ?
Sur cette instru, le challenge est rude, il me faut un truc pour vous faire frissonner.
Passionné, faut dire que vous me compliquez les choses
Je débite mes proses pour unifier mais pas moyens de suivre la même cause
Tout le monde en quête de vérité, chacun la sienne, c'est ça l'idée ?
Combien me comprendront, bah ouai combien vont valider ?
Riche de diversité,
Le point commun c'est de s'élever
Petit hommage spécial aux fachos pour qui je garde un doigt levé.
J'crois qu'on se goure de question à rechercher l'air de la chanson
Tout le monde le cherche à sa façon et v'là le prix de la rançon !
Je passerai pas mon temps à cavaler derrière une ombre
Je travaille mon art comme une estampe de notre espèce qui s'estompe.
Désolé si je digresse, si je laisse mes idées vagabonder
À quoi bon déblatérer ma dite sagesse sur du papier ?
J'ai dû zapper la politesse dans le fouillis de vos pensées
Acceptez cette prose comme un pavé pour unifier.
Désolé si je digresse, si je laisse mes idées vagabonder
À quoi bon déblatérer ma dite sagesse sur du papier ?
J'ai dû zapper la politesse dans le fouillis de vos pensées.
Acceptez cette prose comme un pavé.
Et plus je me questionne sur l'espace
Plus je me passionne pour notre espèce
Et la détresse qui la terrasse
Je vois des astres à ma fenêtre.
Des étoiles volatiles défilent et filent dans les ruelles.
Chacune scintille à sa manière et tourne autour de son propre univers.
Merde, c'est toute une science
Quand on y pense
D'aimer l'humain et ses errances
On a tous peur du même silence et si je danse avec les mots
Pour essayer de contrer l'abîme
Je glisse ivre sur ma feuille vide
J'kick, vivre ça abime.
Les philosophes en témoignent,
En tant que bon misanthrope je me soigne
Et si je me saigne à chaque poème
C'est que je perçois quand même l' espoir.
Certes, pas tous les mêmes
Mais la même peine face à la mort
Et si la mienne doit voir le jour
J'y croiserai peut être l'amour des hommes.
Ah ! Mes vieux démons me rattrapent
J'dois être comme vous, bien incapable d'avouer au fond qu'j'suis vulnérable, hein ?
Il est peut-être là le point commun
Remettre les choses au lendemain.
Sachez quand même que je vous aime, et puis pour le thème on voit demain.
Euuuh... Attends, il y a une couille là...
Ouais, t'es un peu comme eux, hein !
Est-ce que je critique un truc que je suis en train de faire là ?
Ouais, je crois bien, hein !
Sérieux ?
Désolé si je digresse, si je laisse mes idées vagabonder
À quoi bon déblatérer ma dite sagesse sur du papier ?
J'ai dû zapper la politesse dans le fouillis de vos pensées
Acceptez cette prose comme un pavé pour unifier.
Désolé si je digresse, si je laisse mes idées vagabonder
À quoi bon déblatérer ma dite sagesse sur du papier ?
J'ai dû zapper la politesse dans le fouillis de vos pensées.
Acceptez cette prose comme un pavé.
Désolé si je digresse, si je laisse mes idées vagabonder, vagabonder, vagabonder !
Désolé si je digresse, si je laisse mes idées vagabonder ! Tchikiricheck yo !
Et c'est Greenfinch à la prod derrière le piano et les cordes ! C'est beau hein ?
Paroles : Kal Speredia
Musique : Greenfinch

