kato le k garder pour perdre şarkı sözleri

Tous ces jours où l'on me voyait arriver comme la nuit sur le jour Tant ce qui me remplissait, pissait, dire sans pli ce que l'on joue Ma pluie descend un sens qui non compris serait un abri peu décent Il semble pour son fort prix J'ai trop vu d'avenirs tenir une tête basse, manquer d'air dans l'infime espace qu'est le temps Dans lequel on ne se déplace pas assis sur l'aiguille remontant à hier Donc, place à eux, si j'puis me permettre Mes lignes jusqu'à l'aube tombent sur tout, jusqu'à l'autre : ton pote qui en ramenant d'autres Pense qu'il se trompe sur toi Le gain tousse au dessus de tout sentiment, même si trop couchent leurs centimes en leur souhaitant Doucement bonne nuit Voilà comment petit, le visage d'une vie sage envisage Alors comment peuvent-ils aujourd'hui nous dire que ça, ainsi que nous, sommes bizarres Eux qui ont le «mal» qui parle bien, veulent que j'oublie ça Ils peuvent nous priver de tout mais pas de rien Soit de ma tête, comme ils la considèrent, ou s'en dissuadent Voilà le rapport que j'ai à ce monde, ce qui est « d' nous », ou ces autres Toi, Vous, ce désordre, Moi Tout ce qui sort de moi, vous, nous, quand entre tout, je vois autant que vous, flou Mais qu'après le bout de ce doigt Voilà le rapport que j'ai à ce monde Je compte plus : ces nuits sur une tise Ces joints que je tire du soir au matin Mes frères sur le biz, ou sur une pute à l'autre coin de rue Ou ces fuites où le plan était d'être ivre Pour lâcher cette vie qui a le goût de nous bouffer vivant Puis une fin n'a pas toujours la voix de venir crier j'arrive en venant Si pour certains cette vie se barre, d'autres l'attendent justifiant un petit retard Donc, quelle optique t'as ? Peu importe, si un jour vient où l'on dit que t'as su la retrouver sans que Le doute tâte Qui pense avoir ici l'œil ouvert ? Et Combien ne le savent pas couvert Sans réponse je sais que l'on voudrait bien m'y retrouver C'est quoi ce bordel ?..Putain, Faut toujours qu'on m'appelle même au mauvais moment Maintenant moi j'réponds pas. Tu vas te garder ça, même la prise, même, tu vas la garder Parce que mon texte là, j'vais le changer là. Tiens, d'ailleurs ça tombe bien Le thème c'est Garder Ok, tu excuses la rage de 4 vies que je garde en une alors qu'ici On grave vite le «trop» que j'accumule Trop perdent, la seule chose qu'il devait garder ce que la mienne aurait pu se passer d'aller garder Si pour rien que tournent les bouffées toussées, que t'essaies de garder Où ça ? Moi, je ne sais « de garder » ! Donc maintenant Vas-y, regarde-les :Ils tiennent le mur, l'inquiétude qui n'y ait plus une thune Reproche-nous, la première peur qu'ils ont dans ce monde, d'ailleurs comme vous, on garde tout L'humour que je vous garde pour vous étouffer Garder l'Amour pour les siens, garder la Haine pour les Autres, quand la guerre n'est pas entre Nous. Parce que guère rien a foutre, v'là comment " Terre " tourne Là où on n' garde jamais tout de ce que l'on souhaite, va jusqu'à ceux qui entourent Lorsque le tour de l'un vient avant celui de l'autre, maille ou meufs Le rêve cain-ri remplace toujours ce qui est déjà neuf C'est l'histoire de garder pour perdre parce que peine à devoir perdre pour garder Ils iront se plaindre sans moi, n'est-ce pas C'est l'influence des autres, leur vision de vie et la tienne Chaque fois qu'tu te lèves tu gardes, car chaque fois que tu te couches tu gardes Et si la charge couche reste plus que la chance touche Que ça change tout, dit-on Pas que ça séduit tant, car on est vite à ce qui ne s'évite pas Alors on part, on se casse, on perd, on cesse, aucune distance n'éloigne De ce que l'on compacte, donc, reste qu'on bave, qu'on reste Le combat aux rêves qu'on laisse autant en bas, qu'au temps, nous presse La vie, sur un jour, pour une nuit, joue l'équilibre qui semble : Mais qu'est ce que Toi tu sens Les forts qui s'ignorent faibles finissent comme leurs inverses, à sens inverse Parce que «Être», c'est UN à travers DEUX Soit l'autre est l'un pour un tout autour de quoi TROIS ne reste rien Les petits regardent les grands, et les grands les grands, qui voient petit ce que les petits voient grand Alors, Force à eux, sur nos erreurs, j'y compte Tout passe, naît, cesse, se définit ou pas nécessaire et t'as vu que peu courent pour des ailes Que la rage coupe des autres quand elle coule fort sans s'occuper que d'un, alors, tu es seul Les épaules tiennent ce que les joues retiennent, ce qu'une nuit n'enlève pas de ce que son jour Tient. Tu peux te foutre de la rime mais c'est toujours le flou de l'arrivée qui, fou Ont beaucoup fait virer.
Sanatçı: Kato le K
Türü: Belirtilmemiş
Ajans/Yapımcı: Belirtilmemiş
Şarkı Süresi: 5:01
Toplam: kayıtlı şarkı sözü
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