GAÏA

GAÏA Miroir de détresse, tresse en une montagne de péchés, les seules fautes qui naissent, pour les arbres écorcés. Ainsi pardon des consciencieux, blanchira nul flocon, car les temps miséreux ont accompli leur mission. Refrain Mais par le cloître de mon espérance les saules pleureurs vivront mille ans. Les sourires des fleurs de nuit montreront en attente, leurs couleurs assombries, de mirages qui mentent. Et quand l’aigle dans les cieux percera ce vent brûlé, plumes tomberont de leur mieux vers l’inhumanité. Refrain Solo Jusqu’à ce que les feuilles ne meurent qu’en l’automne, L’espoir restera seul jouant avec la Licorne. Elle seule à qui blancheur reste pureté Elle qui avec moi elle croit… Refrain Que par le cloître de mon espérance les saules pleureurs vivront mille ans. Paroles & musique : Jean-Yvon Senécal ©2015