la clem désolé frérot şarkı sözleri
Joli petit canard
Voilà ton frère immonde,
Parti au large
Surfer les mauvaises ondes.
J'ai déçu tellement d'attentes
Pas pu réaliser les rêves de maman.
Les lacrymos et la castagne
J'imagine qu'elle voyait les choses autrement.
Mais quelque chose me taraudait
Un vilain monstre sous le lit.
J'ai réalisé que nous aussi on nous voilait la face
Que pour nous tout était facile dans la vie.
Les hommes naissent et demeurent
Libres et égaux en droits. Haha !
Laisse moi rire et devenir animal
Certain ici jouent bien es rois.
Attention je suis crade et je tâche
Je crache avec trop d'ardeur ?
Frangin, j'ai vu la haine et le bruit
Les charges et la peur.
Plus rien ne m'effraie
Je n'ai plus rien à perdre.
Jeté dans la mêlée
Je n'ai plus rien à perdre.
J'entame la chute
Je n'ai plus rien à perdre.
Je suis la foudre et la foule.
Désolé frérot
Mon monde a changé.
Désolé frérot
Je changerai le tien.
Pourquoi les milliardaires rachètent la presse ?
Pourquoi les banques rachètent la dette ?
Qui met les politiques dans la presse ?
A quoi ça sert de rembourser la dette ?
Notre ennemi est partout
Dans les supermarchés dans nos veines.
Si la révolte requiert une chaire
Oh c'est bien parti pour être la mienne.
J'ai monté des barricades, désossé la chaussée
Afin d'armer les mains en projectiles.
J'ai fait la guérilla
Cassé des vitrines pour libérer la ville.
Et j'ai tenu ! Mon corps est tout à la révolte
Arcbouté il refuse le silence ;
Il vole enflammé, fourbe
Comme ces cocktails qu'on leur lance.
Admirez le ruissellement !
On a surtout vu pleuvoir les coups.
Des pavés dans la gueule
Ils devront matraquer jusqu'à nous rompre le cou !
Plus rien ne m'effraie
Je n'ai plus rien à perdre.
Jeté dans la mêlée
Je n'ai plus rien à perdre.
J'entame la chute
Je n'ai plus rien à perdre.
Je suis la foudre et la foule.
Désolé frérot
Mon monde a changé.
Désolé frérot
Je changerai le tien.
Du pain et des jeux ? Non !
Je suis le barbare aux portes de Rome
Et dans mes songes fiévreux ; oui !
Je vois cramer les champs elysium.
Tremble dans ta toge et ton marbre
Si telle est ta place !
La mienne se répand dans la rue,
Elle couvre mes mains, cette satané de crasse.
Je suis le retour de bâton,
La rage qui grouille,
Explosera le ventre en une nuée d'étoile.
Désolé frérot, j'ai assez parlé sans qu'on m'écoute.