Etrange souvenir (feat. LFRB)

J'erre dans les rues de la ville sans jamais rien apprendre J'rentrerai 3 g dans le sang sans jamais rien entendre les erreurs d'la vie j'les répète j'fais la fête et j'repense à tout c'qu'on a pu rater ensemble j'écris des textes ou je dis quj'me déteste toujours impressionné par ta présence La lumière du tel pour éclairer mon teh Des montagnes de shit on dirait la fontaine de jouvence on tema la ville hirondelle on a les pieds dans la merde la violence on découpe des prods en rondelles j'découpe la peuf en lamelles tu m'diras c'que t'en penses j'sais bien qu'on est plus les mêmes pas d'fond au couloir plutôt comme un vide immense J'essaye de trouver une suite un passage en soute mais parfois j'ai des doutes et la drogue me déroute et tout c'que j'redoute ça se trouve sur ma route J'aimerais tout reeboot Recommencer bien avant la banqueroute C'est pas censé mais la vie me dégoûte J'finis la teille j'bois l'alcool à la goûte près du trottoir comme un vieux rat d'égout Et j'le refais j'm'en vais noyer mon seum les journées se répètent j'peux tabasser un keum les soucis s'améliorent passent de cheum à moins cheum une photo un souvenir pour apaiser mon cœur le sourire en logo pour pas finir tout seul si je rap toute ma peine j'en ai pendant des heures j'ai préféré la haine j'ai écrasé les fleurs j'ai mis l'alcool en veine puis j'ai changé l'odeur Comme un étrange souvenir de loin j'le vois venir de Paris jusqu'à Venise j'ai peu confiance en l'avenir Millions d'années plusieurs barettes jfais que perdre mon temps Si tu savais comme j'suis pas net mais faut pas qu'ty penses C'est comme un étrange souvenir Ou comme un été sans sourire Comme un amour sans souffrir Parmi le commun des mortels Je n'peux pas œuvrer jusqu'à mourir Comme un outil Qu'on achète et qu'on tej À la fin de la tâche On a pêché on prêche Encore à la nage La vue sur la mer le mental dans la neige Faut que les sous on brasse Les passerelles les paliers on passe Se barrer sous palmiers on pense la gue-dro circule dans l'impasse Car obligé de se remplir la panse Pandémie pandémie pandémie La pauvreté et le pain de mie Ta vie Pour un taff qui paye pas de mine Des grands récits restés anonymes Des soirées à parler de notre l' avenir À Venise Tu charbonnes Mais c'est toujours mieux que crever dans la dalle J'ai pas eu d'inspi combien blanche est la page Des rimes explosives comme des bombes au Napalm J'ai pas su m'ouvrir je suis coincé dans la cage J'ai marché des kilomètres De Paname à Budapest J'me vois stagner dans la masse J'Mets Le pillon dans la mas Je le rapel que le temps passe Souvent forcer de l'admettre Comme un étrange souvenir de loin j'le vois venir de Paris jusqu'à Venise j'ai peu confiance en l'avenir Millions d'années plusieurs barettes jfais que perdre mon temps Si tu savais comme j'suis pas net mais faut pas qu'ty penses