l.g. aube şarkı sözleri

Le soleil se lève, il est 5h05 La nuit fut arrosé et zéro femmes saintes Beaucoup de verres alcoolisés, rigueur est absente Retour aux termes familiers, Vincent et absinthe Le ciel s’éclaircit, solitaires sont mes yeux Les cernes sont ternis, négligence des dieux Je vois les oiseaux s’envoler, parfois j’aimerais être comme eux Juste pouvoir quitter ce monde, pour voir qui pleure aux adieux Je tourne la tête, voyant les autres peureux Ils ne sont pas méchants mais changent quand c’est bien pour eux Mon ami verse la liqueur, cela ne m’effraie qu’un peu Son cœur est vide, tout comme son verre, essaye de combler les deux Donc je ferme les yeux et j’imagine l’aurore La réalité est traître, souvent moins belle que son corps Elle est encore endormie, secrétaire de mon cœur Omniprésente dans mes rêves, pour elle je serais à l’heure Je l’aime indécente, je l’aime quand elle est sérieuse Avec elle c’est comme la clope, quelques minutes heureuses Son visage me tente quand j’ai besoin d’être heureux Mais la redescente est violente une fois qu’je sais qu’c’est pompeux La nuit est belle comme mois de décembre, à Noël j’monte à Paris Là-bas j’vais taffer la matière et retrouver la famille Des souvenirs avec la verte, à minuit j’étais au lit J’me souviens je faisais qu’un avec le canapé en cuir Donc j’vais enchaîner les soirées, histoire de m’sentir serein J’dis enchaîner les soirées mais c’est faux, pas trop de potes, hein J’repense à quelques trucs, la tête posée sur la fenêtre du train Deux trois souvenirs qui traînent, des trucs qui m’font regretter demain J’repense aux cours, à toutes ces heures de perdues J’ai rencontré des bons, des cons, des fils de pute En faisant l’bilan j’me dis qu’le son est un bon refuge Check sur Instagram mais j’ai toujours le même nombre de vues Plus de connaissances au compteur que de vrais frères sur qui compter Dans ce monde vide de sens, amour/argent pourraient me combler Les yeux vitreux pourtant je sais qu’le temps m’est compté Au bord de l’autoroute, plus trop d’essence, j’commence à douter La vie est triste car être heureux est une chance L’alcool brûle car le bonheur ne dure qu’un temps Dur de croire en dieux quand de bonnes âmes se mêlent au vent J’regarde les photos d’famille, aujourd’hui y’en a qui manque Il faut qu’j’arrête de bader, que j’me détende Si non j’finirais rasé, assis dans mon temple Plus tard je me battrai, mais j’ai que 16 ans Pour l’instant j’fais du son, laisse moi encore faire l’enfant
Sanatçı: L.G.
Türü: Belirtilmemiş
Ajans/Yapımcı: Belirtilmemiş
Şarkı Süresi: 2:32
Toplam: kayıtlı şarkı sözü
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