L'homme qui n'est pas

Dans l'obscurité murmurante, l'enfance enchaînée, Des spectres dissimulés, des secrets suppliciés, Sous l'orage silencieux, les cris égarés, Une âme en lambeaux, un cœur piétiné. Ehhhhhhh ehhhhhhhh Et tu étais la... caché dans la pénombre de mes rêves.... Que tu as assassiné... Dans les abysses des souvenirs, des cicatrices foudroyées, Chaque larme, un venin, chaque mot, une épée, L'innocence dévastée, dans les filets du mal, Un enfant qui croit que... c'est celle-ci la vraie vie Oh, oh, oh, Les salissures du mal Oh, oh, oh, Personne ne les voit Quand la douleur s'éteignit, un gouffre béant s'ouvrit, Des portes de l'enfer, les ténèbres s'agrandirent, Un monde sans clarté, un royaume illusoire, Où chaque souffle est un cri, chaque pas une folie. Ehhhhhhh ehhhhhhhh Et vous étiez la... insensibles assassins.... Dd'un enfant déjà mort.. Dans la danse des ombres, des chaînes invisibles, L'âme en errance, des souvenirs indicibles, Le passé en flammes, l'avenir incertain, Un cœur en cendres, un futur déclin. Ehhhhhhh ehhhhhhhh Qu'est ce que ca vous a fait... de patiamment veiller .... A toujours me blesser... Dans le théâtre des songes, des masques brisés, Des échos de souffrance, des âmes damnées, Chaque nuit un combat, chaque jour un enfer, Un enfant devenu ombre, perdu dans le désert. Oh, oh, oh, Perdu dans le désert, Oh, oh, oh, Cœur déserté. On dit souvent, que la plaie se referme Que les étoiles dans la nuit, enfin brilleront... On nous a menti... Mais ce soir, je suis juste un fantôme errant, Dans l'écho du passé, un enfant sans avenir. J'ai traversé les flammes, dansé avec les ombres, Chaque souvenir un poignard, chaque pas une tombe, Maintenant, je suis juste une âme, un cœur abandonné, Cherchant la lumière, dans un monde condamné. Oh, oh, oh, Monde condamné, Oh, oh, oh, Cœur lacéré. Et le temps a passé. il n'a rien effacé. heeee ehhhhhhh Mais dites-moi.... dites-moi... Vous êtes vous déjà demandé pourquoi comme ca... et tout ca pour ca... Qu'est ce que ca vous a fait... de patiamment veiller .... A toujours me blesser... A toujours me blesser... Mais dites-moi.... dites-moi... Vous êtes vous déjà demandé pourquoi comme ca... et tout ca pour ca...