Rêverie Urbaine [1]

[Intro] Dans la nuit douce, les étoiles murmurent, Les pavés chuchotent, des contes qu'ils murissent, L’écho d'un silence, en mélodie s’envole, Une danse légère fait vibrer nos rôles. [Verse 1] Dans les ruelles sombres, je flâne un peu perdu, Mes pensées errent, se mêlant à l'infini. Les murs me parlent, ils cachent des récits, Chaque couleur révèle un rêve enfoui. La lumière filtre, éclaire les volets, Comme un souffle, chaque espoir se reflète, Les traces laissées sur le bitume froid, Témoins silencieux des amours d’autrefois. [Chorus] Rêverie urbaine, tout en tendresse, Les larmes des étoiles effleurent ma peine. Une nostalgie douce, en souvenirs placée, Dans le souffle du vent, je choisis d’aimer. Chaque note résonne, tissant un chemin, Dans l'art des ombres, tout devient chemin. [Verse 2] Les lanternes vacillent, leurs ombres hésitantes, Mes soupirs s'enlacent aux souvenirs flottants. Une beauté fragile se dessine à l'horizon, Dans l’étreinte douce de cette nuit, raison. Les graffitis parlent, âmes en vagabondage, Un élan éphémère, l’histoire d’un voyage. La ville rêve encore sous sa voûte brillante, L’innocence des jours que la mémoire enchante. [Chorus] Rêverie urbaine, tout en tendresse, Les larmes des étoiles effleurent ma peine. Une nostalgie douce, en souvenirs placée, Dans le souffle du vent, je choisis d’aimer. Chaque note résonne, tissant un chemin, Dans l'art des ombres, tout devient chemin. [Bridge] Entre ces murs, je m’égare doucement, Les murmures du vent chantent lentement. Un monde entier dans chaque pas que je fais, Chaque souffle s’échappe, portant la paix. [Outro] Et lorsque le jour pointe, que les rêves s’effacent, Je garde avec moi la douceur de nos traces, La ville s'endort, berçant nos secrets, Rêverie urbaine, avec moi tu t'engages, sous ce ciel en marquage. Chaque silence, chaque lumière, Reste en moi, doux écho d’un cœur sincère.