Dans l'Œil du Mal

Dans la nuit noire, les ombres se lèvent, Des tueurs en chasse, le mal en trêve. Le Trappeur, sanguinaire, attend en silence, Ses pièges acérés, promesse de souffrance. L'Infirmière, fantôme torturé, Avec chaque téléportation, elle fait trembler. La Colline, brute impitoyable, Son marteau s'abat, chaque coup implacable. Dans le monde ou la fuite est la seul survie. Le sang coule, les cris résonnent la nuit. Tueurs sans pitié, horreur et terreur, Dans ce cauchemar, il n'y a aucun sauveur. La Chasseuse chante une berceuse mortelle, Ses haches sifflent, sa vengeance est belle. Le Spectre se fond dans l'obscurité, Invisible prédateur, il frappe avec clarté. L'Esprit, spectre vengeur, de haine consumée, Ses lames étincellent, sa rage est déchaînée. Le Clown rit, son poison s'étend, Chaque inhalation, une agonie lente. Dans le monde ou la fuite est la seul survie. Le sang coule, les cris résonnent la nuit. Tueurs sans pitié, horreur et terreur, Dans ce cauchemar, il n'y a aucun sauveur. Les Survivants courent, leur cœur battant, Chaque pas, une danse avec la mort. Le brouillard s'épaissit, les espoirs s'amenuisent, Mais dans ce chaos, ils cherchent la sortie. Le Démogorgon, bête venue d'ailleurs, Ses crocs lacèrent, il apporte l'horreur. Le Fléau, avec sa faux empoisonnée, Chaque coup porté, une vie enlevée. Le Juge, avec sa lame de fer, Implacable bourreau, dans l'ombre il erre. L'Oni, furie incarnée, Son katana s'abat, sa soif de sang est comblée. Dans le monde ou la fuite est la seul survie. Le sang coule, les cris résonnent la nuit. Tueurs sans pitié, horreur et terreur, Dans ce cauchemar, il n'y a aucun sauveur. La Légion, meute de jeunes enragés, Dans la violence, ils se sont engagés. Le Docteur, manipulateur de douleur, Ses chocs électriques révèlent la terreur. La Sorcière, ensorceleuse maléfique, Ses pièges de sang rendent chaque pas critique. Le Cauchemar, Freddy le sinistre, Avec ses griffes, il déchire les rêves en éclats sinistres. Dans le monde ou la fuite est la seul survie. Le sang coule, les cris résonnent la nuit. Tueurs sans pitié, horreur et terreur, Dans ce cauchemar, il n'y a aucun sauveur. La Plague, avec sa pestilence, Ses vomissements infectent avec violence. Le Cénobite, maître des chaînes, Sa boîte de l'enfer inflige d'atroces peines. Le Cannibale, Leatherface cruel, Sa tronçonneuse chante un requiem mortel. Le Jumeau, ensemble macabre, Ils chassent et traquent, leurs victimes en sabbat. Dans le monde ou la fuite est la seul survie. Le sang coule, les cris résonnent la nuit. Tueurs sans pitié, horreur et terreur, Dans ce cauchemar, il n'y a aucun sauveur. Dans ce jardin d'effroi, le temps est suspendu, Les tueurs rôdent, les espoirs sont déchus. Mais à chaque lever de soleil, une nouvelle chance, Pour survivre à la nuit, et échapper à la danse.