Le Fantôme de Sparte

Ils m'ont arraché ma vie, brisé mon âme, Offrant ma famille aux flammes, sous leur infâme drame. Arès ma lié, esclave d'un pouvoir maudit, Les chaînes sur mes poignets, la vengeance pour seul cri. Ascension sanglante, l'Olympe comme ennemi, Chaque dieu abattu, c'est leur fin que je décris. Du fantôme de Sparte, je trace mon sillage, Dans leur sang et leur peur, je grave mon message. Je suis le cri de la vengeance, le spectre de la guerre, Dans leurs temples dorés, j'ai semé l'enfer. Mes lames chantent la rage, l'ombre de mes regrets, Chaque coup, chaque cri, me rapproche de la paix. Ils m'ont pris tout ce que j'aimais, tout ce que je voulais, Mais face à leur trahison, c'est leur monde que j'ai brisé. Des enfer à Sparte, je suis leur jugement, Kratos, le déchu, le fléau des dieux mourants La chaîne de l'Olympe a scellé mon destin, De la Guerre à la Mort, je déchire chaque lien. Le sang des Titans, celui des Dieux souillés, Leurs trahisons, leurs rires, je les ai balayés. Pandore m'a offert l'espoir d'une lumière, Mais l'ombre de mon passé reste une pierre amère. Le fantôme de Sparte avance, hanté par ses cris, Chaque pas me rapproche de leur dernier sursis. Je suis le cri de la vengeance, le spectre de la guerre, Dans leurs temples dorés, j'ai semé l'enfer. Mes lames chantent la rage, l'ombre de mes regrets, Chaque coup, chaque cri, me rapproche de la paix. Ils m'ont pris tout ce que j'aimais, tout ce que je voulais, Mais face à leur trahison, c'est leur monde que j'ai brisé. Des enfer à Sparte, je suis leur jugement, Kratos, le déchu, le fléau des dieux mourants Dans la rage des batailles, mes lames dansent, Les dieux tombent un à un sous ma sentence. Zeus, traître suprême, père de mon agonie, C'est à tes pieds que s'effondrera ton Olympe infini. Ascension, chaînes, vengeance, un même combat, Je suis la tempête qui souffle et brise leurs lois. Hermès, Poséidon, Hadès, et leurs armées, Face à ma colère, aucun ne peut espérer. Je suis le cri de la vengeance, le spectre de la guerre, Dans leurs temples dorés, j'ai semé l'enfer. Mes lames chantent la rage, l'ombre de mes regrets, Chaque coup, chaque cri, me rapproche de la paix. Ils m'ont pris tout ce que j'aimais, tout ce que je voulais, Mais face à leur trahison, c'est leur monde que j'ai brisé. Des enfer à Sparte, je suis leur jugement, Kratos, le déchu, le fléau des dieux mourants Des visions me hantent, des murmures d'autrefois, De ma fille et ma femme, perdues dans la croix. Chaque cri d'un dieu m'offre une maigre revanche, Mais mon cœur demeure vide, dans le silence. Athéna, complice, te voilà démasquée, Toi qui guidais ma main pour mieux m'écarter. Ma rage dévore tout, même ma propre humanité, Je suis le spectre de l'Olympe, leur éternité brisée. Je suis le cri de la vengeance, le spectre de la guerre, Dans leurs temples dorés, j'ai semé l'enfer. Mes lames chantent la rage, l'ombre de mes regrets, Chaque coup, chaque cri, me rapproche de la paix. Ils m'ont pris tout ce que j'aimais, tout ce que je voulais, Mais face à leur trahison, c'est leur monde que j'ai brisé. Des enfer à Sparte, je suis leur jugement, Kratos, le déchu, le fléau des dieux mourants Ascension, chaîne brisée, vengeance accomplie, Mais à quel prix, mon cœur reste en sursis. L'épée s'est abaissée, les dieux en poussière, Et dans le néant, je hurle ma misère. Mais si l'ombre m'emporte, une lumière subsiste, Pandore, la clé, dans un monde où tout résiste. Je suis Kratos, fantôme marqué, L'Olympe est mort, je suis leur péché Je suis le cri de la vengeance, le spectre de la guerre, Dans leurs temples dorés, j'ai semé l'enfer. Mes lames chantent la rage, l'ombre de mes regrets, Chaque coup, chaque cri, me rapproche de la paix. Ils m'ont pris tout ce que j'aimais, tout ce que je voulais, Mais face à leur trahison, c'est leur monde que j'ai brisé. Des enfer à Sparte, je suis leur jugement, Kratos, le déchu, le fléau des dieux mourants