Grand paon de nuit

J’ai les yeux rouges, je sors seulement la nuit, personne ne bouge j’aime le silence. Soleil me touche lorsque sombre la nuit, laisse mes épices une odeur de cendres. Et je m’envole, quand l’astre lui dort. « et je laisse sur mes amants, une trace rouge sang, les enlève sur un grand paon de nuit. Et je m’endors, en mal d’aurore. » Sur mes épaules s’accrochent les phasmes, sur mes regards passent des fantômes. Qui donc danse sous un grand parapluie, Qui donc vole sur un grand paon de nuit. Et je m’endors, quand l’astre lui. « et je laisse sur mes amants, une trace rouge sang, les enlève sur un grand pan de nuit. Et je m’endors, en mal d’aurore. » Un âge d’or me tend les bras mais là je dors auprès de toi. Un âge d’or te tend les bras, hélas je dors au prêt de toi. « et je laisse sur mes amants, une trace rouge sang, les enlève sur un grand pan de nuit. Et je m’endors, en mal d’aurore. »